Dans le livre dont la couverture tient lieu d’illustration, il y a un enchainement appelé « les 16 Bis ». Certes l’appellation n’est pas originale, mais ce n’est pas l’essentiel, l’essentiel étant le contenu.
Sont également proposés d’autres thèmes : travail au sol, amenées au sol, liaisons debout-sol et sol-debout, et le kime-no-kata.
Revenons aux « 16 Bis ». Elles ont été crées à la suite des « 16 techniques » ; j’avais souhaité mettre au point un exercice qui proposerait des ripostes différentes à celles des « 16 de base ». Des ripostes qui demandent davantage d’ancienneté dans la pratique. On y retrouve des techniques appartenant aux trois composantes du ju-jitsu, le principal intérêt se trouve dans la composition des enchaînements. L’objectif étant d’acquérir une parfaite fluidité dans la liaison des techniques en question.
Comme je l’expliquais dernièrement à propos des « 24 techniques », j’ai toujours eu l’envie de créer, à la fois pour répondre à un besoin, mais aussi pour proposer de nouveaux outils aux pratiquants.
Cet enchaînement, comme beaucoup d’autres, rassemble trois intérêts.
Le premier sur un plan purement technique. Il permet tout simplement d’évoluer, de progresser dans la recherche de la perfection (que l’on atteint jamais, le seul fait d’essayer de s’en approcher se suffit à lui-même).
En deuxième, lorsque l’on maîtrise correctement chaque technique et que l’on a mémorisé l’ordre, il offre un bon moyen de parfaire sa condition physique en ayant comme objectif de conserver le même rythme du début jusqu’à la fin de l’exécution de l’enchaînement.
Enfin, il peut servir de démonstration, la plupart des techniques étant aussi spectaculaires qu’efficaces ; l’ensemble présente parfaitement la richesse du ju-jitsu.
Follow
Voilà une technique que j’affectionne tout particulièrement. Peut-être est-ce parce que je la maîtrise assez bien que je l’affectionne, ou bien est-ce parce que je l’affectionne que je la maîtrise ; qui est la conséquence de la cause ?



Cette semaine j’évoquais sur Facebook « notre tenue », celle que nous portons lors des entraînements et qui nous manque terriblement depuis des mois.
Dans cette période d’activité inexistante pour notre secteur et d’avenir incertain, il reste l’évocation de bons souvenirs. C’est ce que je propose aujourd’hui avec « La défense dans la ville «, en nous plongeant vingt-cinq-années en arrière.
Un petit rappel sur l’utilité de bien savoir chuter… Ne serait-ce que pour mieux pouvoir se relever !
Ce qui est certain, c’est que ce n’est ni de la faute des bistrots, ni des restaurants, ni des cinés, ni des théâtres, ni des salles de sport, ni des dojos, si nous sommes contraints à un troisième confinement !
Retour à « la technique » avec un article consacré à l’atemi-waza (le travail des coups), l’une des trois composantes du ju-jitsu, les deux autres étant le nage-waza (le travail des projections) et le katame-waza (le travail des contrôles).
C’est dans un tunnel dont nous ne voyons toujours pas le bout que nous avons été projetés il y a tout juste un an.
Voilà un petit livre empli d’une grande sagesse. Je ne peux que le recommander aux pratiquants d’arts martiaux, mais aussi à tous les autres. Ils découvrirons – si ce n’est déjà fait – que ces disciplines ne se limitent pas au développement physique et à la science du combat.