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Malheureusement, pas de Ju-Jitsu à Bercy à l’occasion du 25e festival des Arts martiaux. A qui la faute ? D’une part à la fédération qui a en charge officiellement la gestion du Ju-Jitsu en France et qui ne le fait qu’à « minima ». Et d’autre part à tous ceux qui n’arrivent pas à fédérer les mécontents. Mais, pouvons-nous construire sur un mécontentement en réunissant ceux qui n’ont que cela en commun ? Plus sûrement sur l’envie de répondre à un besoin, dans une structure déjà existante, rigoureuse sur le plan  administratif et crédible sur le plan technique. C’est ce que nous tentons de réussir avec la structure EAJJ (Ecole Atémi Ju-Jitsu). Même si certains pensent que cela ne va pas assez vite à leur goût, nous avançons quand même. Certes, nous manquons cruellement de temps pour affronter les méandres de l’administration et tous ceux qui s’opposent à l’autonomie du Ju-Jitsu dans l’hexagone. Ainsi, il n’est pas facile de lutter contre ce qui est  – encore une fois – une « exception française ». Plusieurs démarches ont été entreprises en direction des services concernés, sans réponse à ce jour. Cela ne nous empêche nullement de continuer à nous organiser, mais il faut de la disponibilité et beaucoup de bonnes volontés.
Cependant, nous sommes en possession de réels atouts : notre association bénéficie déjà d’une antériorité conséquente, d’une gestion rigoureuse, d’un programme technique – 100 % Ju-Jitsu – qui a largement fait ses preuves et d’un nombre de clubs non négligeable et en croissance. De plus, les demandes de renseignements pour adhérer à l’EAJJ se font nombreuses. Simplement, certains hésitent encore à nous rejoindre pour différentes raisons. Nous nous employons à les rassurer. Ayons toujours présent à l’esprit que nous sommes dans un pays de liberté et que plus nous serons nombreux, plus nous aurons des chances de réussir à obtenir une officialisation de notre mouvement.
Notre méthode recueille l’adhésion d’un nombre important de pratiquants qui souhaitent – au travers de l’Art martial – s’épanouir dans une  forme de travail à but non compétitif, éducative tant sur le plan technique (efficacité), mais aussi physique et mental. Sur ce dernier point, nous revendiquons une pratique empreinte de rigueur, de maîtrise, de respect mutuel. Tout ceci inspiré directement du code des samouraïs. Cela n’empêche pas un investissement physique important, au travers – notamment – d’exercices d’opposition à thèmes dans lesquels l’intégrité physique sera respectée, permettant entre autres une pratique qui s’inscrira dans la durée !
Site de l’Ecole Atémi Ju-Jitsu : www.atemi-jujitsu.com 
Site du club Eric Pariset : www.jujitsuericpariset.com

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Le prochain passage de grades – ceintures noires et plus – aura lieu le samedi 5 juin à Paris. Quant à la coupe technique nous l’organiserons le même jour, dans la foulée.
A vrai dire, il s’agira d’avantage d’une présentation technique. Elle sera l’aboutissement de séances de recherche et d’entrainement. La principale motivation étant de faire état du résultat du  travail accompli,  plus que de s’inscrire dans un « esprit compétition ». Nous avions peu d’inscrits pour le week-end prévu initialement fin mars. Le report de la date peut avoir au moins une vertu, à savoir,  celle de donner d’avantage de temps pour se préparer. 

site du club Eric Pariset: www.jujitsuericpariset.com

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La famille de Robert Denis (Président de l’EAJJ) a été matériellement durement touchée par la tempête qui a fait rage en Charente Maritime. De ce fait, notre Président est dans l’incapacité d’assurer la bonne organisation du rassemblement prévu à la fin du mois et dont il avait la charge, chez lui à Monts.
Dans un premier temps, nous sommes contraints d’annuler purement et simplement ce week-end en Touraine, dans l’attente d’une solution de remplacement.
Je profite de cette occasion pour adresser notre soutien à Robert, ainsi qu’à sa famille.
Nous allons essayer de maintenir, au moins, le passage de grades. Celui-ci pourrait se dérouler à Paris le samedi 27. Nous sommes vraiment désolés de ce contretemps, mais dans certaines circonstances, il est des moindres maux.

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Demain, veille de la St Valentin, le club propose une séance un peu particulière. J’ai pensé que cela pourrait être l’occasion de faire partager sa passion pour le ju jitsu à la femme ou à l’homme de sa vie. Cela lui permettrait peut-être de lui faire comprendre pourquoi deux fois par semaine vous l’abandonner pour transpirer, donner des coups, en recevoir, se prendre des gamelles, se rouler par terre, etc. Plus sérieusement, cette séance d’initiation qui se déroulera au dojo de 17h15 à 18h00, pourra faire découvrir le Ju-Jitsu de manière originale. Donc, rendez vous demain samedi 13. Nous prêterons le kimono. Sinon, bonne Saint-Valentin à toutes et à tous.
Site du club : www.jujitsuericpariset.com
Adresse : 21/23, boulevard Richard-Lenoir 75011 PARIS. Métro Brèguet-Sabin

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En photo, Soulac2009.

C’est au cœur de l’hiver qu’il est plaisant de penser à l’été. Les dates du 25e stage de Soulac sont fixées depuis quelques semaines. Par conséquent, il temps de s’organiser pour l’hébergement. Plusieurs possibilités s’offrent aux stagiaires. Comme beaucoup de stations balnéaires, Soulac propose des formules qui s’adaptent à tous les souhaits et à tous les budgets. L’office du tourisme est à votre disposition : www.soulac.com
Cette année revêt un caractère particulier, puisque nous allons fêter  la 25e édition. C’est en 1986 que le premier stage s’y est déroulé et depuis, chaque année, sans interruption,  le ju- jitsu est à l’honneur sur les bords de l’Atlantique.
Je ne suis pas le « chargé de communication » de la station balnéaire médocienne, mais si depuis 25 ans j’y retourne, cela signifie que de bonnes raisons existent. Outre l’infrastructure qui nous est offerte et qui facilite le bon déroulement de la semaine, d’autres éléments sont à en prendre en considération. Tout d’abord l’accueil ; que ce soit celui que nous réservait  Monsieur  Jean François Pintat, puis Monsieur Xavier Pintat (successeur de son père, en tant que Sénateur-Maire), la qualité de cet accueil a toujours été égale. Ensuite, l’ambiance générale ; pour moi, se dégage un parfum quelque peu « suranné » de cette petite ville qui rappelle quelque peu les vacances à l’ancienne ! Que les fanatiques de l’ambiance moderne  se rassurent, Soulac n’est pas en reste et il y a de quoi faire ! Mais il est certain que cela n’est pas la priorité de cette cité qui revendique une ambiance sportive et familiale. Enfin, le climat et l’environnement. Pour un stage sportif, le climat est important. Outre l’iode et l’air pur, il est rare de souffrir d’une chaleur extrême. Cela n’empêche pas le soleil de briller très généreusement (il existe un microclimat), mais l’air marin rend supportable les rayons de l’astre. Quant à l’environnement,  les kilomètres de plages et l’immense foret de pins, feront la joie des amoureux de la nature.
Pour conclure, sur le plan purement ju-jitsu, la pratique sur un tatami de 300M2, trois heures au quotidien assure de véritables progrès grâce à une immersion importante dans notre discipline.
25e stage international de Soulac-sur-Mer : du 8 au 13 août 2010

Pour tous renseignements complémentaires : www.jujitsuericpariset.com

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Avec quelques heures d’avance, je souhaite une bonne année à tous les budokas, mais aussi aux autres. Je pense principalement à tous ceux qui dans leur vie quotidienne appliquent les principes insufflés par Jigoro Kano. Quand celui-ci à créé son École de Ju-Jitsu appelée Judo-Kodokan, il souhaitait – au delà d’une méthode de Self-Défense et d’éducation physique et mentale – proposer tout simplement une « École de vie » aux multiples principes et règles. Certains ont essayé et essaient toujours de suivre le chemin, d’autre moins.

Bonne et heureuse année 2010 quand même à tous (la tolérance était, sans aucun doute, l’un des principes défendu par cet homme).

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A la fin d’une année riche en évènements et rebondissements pour notre club, quelques jours de repos permettrons d’attaquer la nouvelle année dans d’excellentes conditions. D’autant que de solides bases ont été mise en place en 2009 pour préparer 2010!

En attendant, je souhaite à tout le monde – budokas ou pas – d’excellentes fêtes de fin d’année.

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L’EAJJ organisait sont premier passage de ceinture noire « Atémi Ju Jitsu » de la saison. Notre club compte deux nouvelles ceintures noires. Guillaume Devin et Stéphane Pauc ont réalisé un sans faute en réussissant les cinq unités de valeurs. Félicitations à tous les deux.

site du club Eric Pariset: www.jujitsuericpariset.com

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Matinée Ju-Jitsu (traditionnel) très sympathique ce matin à Ramatuelle. 35 stagiaires de la ceinture blanche à la ceinture noire se sont retrouvés dans le magnifique dojo du célèbre village varois. Certes, la météo était différente de celle du mois de juillet dernier, mais nous n’étions pas là pour ça et ce sont des jours comme cela où nous n’avons  pas le regret d’avoir opté pour une discipline qui se pratique en intérieur.
Ce stage est l’initiative de la FSGT et d’Anthony Desbois, mais c’est grâce à Jacky Le Fur, mon ami le Président du club de Ramatuelle, que ce rassemblement a pu avoir lieu. Un grand merci à tous les deux.
Merci aussi à tous ceux qui sont venus de Nice, Cannes, Vence, Hyères et plus largement la région PACA et qui loin de tout sectarisme ont  pu travailler sur le programme technique que j’ai eu le plaisir de proposer. Cela a été aussi l’occasion de « retrouvailles » très sympathiques.
Les dirigeants de certaines fédérations devraient méditer sur la capacité de notre discipline à rassembler un nombre conséquent d’adultes sur les tatamis. Pas simplement à l’occasion de stages comme celui de ce matin, mais chaque jours dans bon nombre de dojos français.

Site du club Eric Pariset:   www.jujitsuericpariset.com

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A l’initiative de Thierry Plee, une fondation vient d’être créée : le « Fond International pour la Préservation des Arts Martiaux ». Il s’agit d’une initiative originale et généreuse. Originale, parce que c’est la première fois qu’une telle fondation voit le jour, ce n’est sans doute pas le  hasard qui fait que la France se trouve être à l’origine d’une telle création. Généreuse, parce qu’elle demande beaucoup d’investissement dans tous les domaines pour ses fondateurs.
Cette fondation à pour but de conserver, transmettre et protéger.
Conserver le patrimoine martial, le transmettre et protéger ceux qui ont donné parfois tout ou partie de leur temps et de leur passion à nos disciplines martiales.
Jeudi 19 novembre dernier une soirée de gala a été organisée afin de donner le coup d’envoi de cette fondation.
J’ai eu l’honneur d’y être invité et le plaisir d’y participer. Ce fut une soirée réussie,  ou l’émotion était bien présente, au milieu d’une assistance réunie autour d’une passion commune.
Cette Fondation à tout naturellement son site Internet : www.fipam.org
Longue vie à la FIPAM.