Trois bonnes raisons pour commencer par le Ju Jitsu

Voici trois bonnes raisons pour faire son entrée dans le monde des arts martiaux en commençant par le Ju Jitsu

Nous sommes encore en début de saison et certains n’ont pas encore fait le choix d’une discipline et ils s’interrogent, souvent à juste titre, sur la voie à suivre!
Je me permets de leur indiquer trois bonnes raisons pour commencer par notre discipline.
En sachant que la liste proposée ci-dessous n’est pas exhaustive, qu’elle méritera d’être développée et qu’elle n’est en rien réductrice quant à l’intérêt que l’on peut porter aux autres arts martiaux.

1 Le Ju Jitsu offre une efficacité incontestable, puisqu’il propose une pratique complète dans tous les domaines du combat à mains nues.
2 Sur le plan physique, il permet un développement complet en tonicité, en renforcement musculaire, en souplesse et en condition physique
3 Enfin, il offre la possibilité d’acquérir un « tronc commun » aux différents arts martiaux japonais, notamment au Judo, au Karaté et à l’Aïkido. Se posant ainsi en  révélateur de nos propres qualités,  évitant aussi d’être parfois la victime de certains de nos aprioris.

Bonne pratique.

site du club: www.jujitsuericpariset.com

C’est la rentée!

 

La rentrée, c’est un peu comme la nouvelle année : il s’agit souvent d’un moment où l’on prend de bonnes résolutions. La liste proposée ci-dessous n’est pas exhaustive, certes, mais elle est quand même assez complète et elle devrait, par l’application de certaines règles de bonne conduite, faciliter le  fonctionnement de la petite société que représente votre club, et optimiser votre pratique.
La résolution principale évidemment, sera de se mettre au ju-jitsu, ou de ne pas l’arrêter ! Commencer le ju-jitsu, parce que –  en toute objectivité – il s’agit d’une  discipline parfaite pour entrer dans le monde des arts martiaux. C’est d’ailleurs, entre autres raisons, pour cela qu’elle pâtit d’une véritable crise d’identité dans notre pays (crise à laquelle nous tentons de remédier avec l’EAJJ) ! Serait-elle considérée comme l’arme fatale à bien des égards, et par conséquent, ferait-elle peur ? Parmi les marques de manque de considération dont elle souffre, on peut citer la propension à laisser sévir un certain style de ju-jitsu qui discrédite complètement les autres écoles !
Pour ceux qui sont déjà ju-jitsukas, ne pas s’arrêter, parce s’adonner à une discipline physique où la tête travaille aussi, est important. Ne pas arrêter le ju-jitsu parce qu’il y toujours à apprendre ! Mais aussi afin de combattre les statistiques nationales (toutes disciplines confondues), qui font état d’environ 60% d’abandon tous les ans !
Fort de la prise de ces bonnes décisions (commencer ou ne pas arrêter), d’autres en découlent ! Pêle-mêle : essayer de venir régulièrement, de se fidéliser aux horaires. Ne pas faire une fixation sur les ceintures, mais ne pas les négliger non plus et par exemple, pour les ceintures marron, prendre la décision d’obtenir la ceinture noire cette saison. Cette distinction reste un objectif mythique, même si elle n’est pas une finalité, bien au contraire. Ensuite, prendre la décision de participer au 24ème stage de Soulac (!). Et à ce propos, participer à la campagne d’opposition à l’installation d’un terminal méthanier au Verdon-sur-Mer en signant la pétition sur le site www.medocpourtous.org. Mieux, adhérer à l’association « Une pointe pour tous » ! Tous ceux qui ont participé au moins une fois à ce rassemblement, comprendront la volonté de ne pas voir s’abîmer un tel endroit !
Ensuite, de façon plus « pratique » et en ce qui concerne le comportement en dojo : ne pas arriver en retard aux séances, et si c’est le cas, essayer de le faire le plus discrètement possible ! À ce sujet, pendant le déroulement des séances et même s’agissant de l’expression de la passion, il faut éviter de trop parler (surtout fort), de se déplacer en courant sur le tatami pour aller chercher, par exemple, sa bouteille d’eau à l’autre bout de la salle. Éviter, de quitter le tatami à l’occasion de l’explication  du professeur (pour vaquer à quelque urgence que ce soit !) : ce qu’il démontre et explique doit quand même être intéressant ! Penser également que l’on n’est pas seul sur le tatami et donc s’assurer que l’on ne représente pas une entrave visuelle pour les autres élèves. Ne surtout pas marcher nu-pieds en dehors du tatami ! Vérifier le contenu de son sac avant de partir, pour ne pas oublier sa ceinture, sa veste ou son pantalon (si c’est le cas de façon récurrente, il est sympa de penser à participer aux frais d’entretien du matériel prêté !). Déposer sa carte à l’accueil avant la séance et ne pas oublier de la reprendre après… Prendre sa licence, fournir un certificat médical. Voilà, avec tout cela la saison 2008/2009 devrait très bien se dérouler !   

Soulac 2008, un bon cru

img013Il y a un an, je signais un édito, appelé « vivement Soulac 2008 ». Je ne mettais pas trompé, cette 23e édition a tenue toutes ces promesses.

Une fréquentation plus importante, une forte représentation féminine, toute la gamme des ceintures sur le tatami et une ambiance qui apportera sa contribution à ce que nous conservions tous d’excellents souvenirs du cru 2008. Alors… vivement Soulac 2009 !

PS : Une coupe technique très amicale, organisée en trois catégories de ceintures, a permis à ceux qui le souhaitaient de se surpasser en se faisant plaisir. Les résultats seront publiés très prochainement.

La magnifique aquarelle, ci-dessus, est l’oeuvre d’une stagiaire qui se nomme Viviane Hereng. Un grand merci à elle.

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Le Golfe Bleu

img014En cette période estivale, ceux qui en ont la possibilité vont quitter la ville et profiter de vacances vraisemblablement bien méritées ! Pour les pratiquants d’une activité physique régulière, il y a plusieurs options. La première consiste à délaisser temporairement la discipline principale au profit d’une autre. Deuxième possibilité, on opte de façon radicale pour le total farniente. Troisième choix, réservé à la « fraction dure » : il consiste à profiter de cette période pour s’entraîner encore plus intensément ! Cet été, cela sera le cas pour les Soulacais d’une semaine !
Le stage de Soulac n’est pas unique en son genre et depuis les années 50, d’illustres rassemblements estivaux ont eu leurs heures de gloires dans les arts martiaux. Parmi ceux-là, il y en a un qui me tient particulièrement à cœur. Il s’agit du stage de judo du « Golfe bleu » à Beauvallon-sur-Mer, dans le Var, juste en face du célèbre village de Saint-Tropez ! Pas uniquement pour ce lieu enchanteur qui, il est vrai, l’était bien plus encore au début de l’histoire de ce stage, mais tout simplement pour ce qu’il représentait pour moi.
J’ai voulu, le temps d’un édito de fin de saison, faire revivre ce rassemblement mythique. Certes, il s’agit de souvenirs personnels, mais qui sont en liaison directe avec ce que l’on peut appeler un monument de l’histoire des arts martiaux.
À l’initiative de Gérard et Armande Néél, couple de professeurs de judo au fort tempérament, fut ouvert à 300 mètres de la mer, au milieu d’une forêt de mimosas, de chênes-lièges et de pins parasol, un centre de vacances. Précurseurs du Club-Med, ce couple avait comme projet de rassembler les pratiquants de judo et leur famille une semaine ou plus, le centre fonctionnant de début juin à fin septembre ! Au début, l’hébergement – quelque peu spartiate – se faisait dans des paillottes avec de la terre battue comme revêtement de sol ! Un tatami, protégé par un toit mais ouvert sur les côtés, se trouvait au centre du village de vacances. Deux heures de techniques tous les matins et… deux heures de randoris toutes les fins d’après-midi. Pour encadrer tout cela, ce sont les meilleurs champions qui sont passés par ce lieu, ceci jusqu’à la fermeture du centre à la fin des années 80 ! Mais c’est la période de lancement de cette aventure qui est assez fascinante et qui me laisse tant de souvenirs. En effet, mon père faisait partie de l’encadrement des premières années, avec bien-sûr son « alter-ego » Henri Courtine et le fameux géant hollandais Anton Geesink. Le centre recevait ainsi les judokas de toute l’Europe, et parfois également d’autres parties du monde, et même des équipes nationales. Tout ce beau monde se rendait dans ce lieu unique et une ceinture jaune pouvait faire le combat de sa vie avec un Champion du monde. Pour ma part et à l’âge qui était le mien, il ne s’agissait pas d’entraînement, mais tout simplement d’un endroit, ou pendant une petite dizaine d’années, j’ai vécu, de juin à septembre (à l’époque la rentrée des classes se faisait le 21 septembre) des vacances que je peux classer parmi les plus beaux moments de ma vie. Elles m’ont permis d’assister à des combats d’entraînements d’anthologie, de côtoyer les sommités du judo et des arts martiaux, de créer des amitiés indéfectibles et de faire de cette région ma région de cœur.
Aujourd’hui, un célèbre promoteur a mis fin à la colline magique. Seul rescapé, le restaurant-plage Le Pingouin bleu, tenu par Pierrot, le fils de la famille. Si un jour vous passez par là, n’hésitez pas, vous serez bien accueillis et vous serez à un « tsugi-ashi » d’un lieu chargé d’une histoire comme on n’en connaîtra plus !

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Coupe des 16 Technques (résultats)

Merci à tous ceux qui ont contribué à la bonne organisation de la soirée du 14 juin et félicitations à tous les participants (vainqueurs ou pas). La motivation des ju-jitsuka présents sur le Tatami et la qualité des prestations sont autant d’encouragements à réitérer – de façon plus « pointue » – la mise en place de tels évènements.
La saison prochaine, nous organiserons vraisemblablement  une coupe des « 16 techniques » vers Noel et une coupe d’expression libre en fin de saison. D’autre part, la réunion de la commission technique et du conseil d’administration de l’EAJJ, qui s’est déroulée dans la foulée, à mis en évidence la nécessité de créer une équipe de démonstration de façon à ce que notre ju jitsu soit présent et représenté lors des différentes manifestations organisées autour des arts martiaux et ce sur toute la France.
Résultats : Catégorie ceintures jaunes et orange : 1e  Bordier-Lahalle 2e  Blanche-Laurent 3e Gutemberg-Marie. Catégorie vertes et bleues : 1e Madon-Deschiens 2e Radkine-Dubois. Catégorie marron et noires : 1e Lacombe-Cornic 2e Bailly-Bourdelly 3e Bouilleveaux-Petit. 4e Delis-Desmares. 5e Fierling-Fierling et Valat-Fertey.
Un passage de ceintures noires se tenait en parallèle, avec le résultat suivant : David Laporte à satisfait à la dernière U.V et est donc devenu ceinture noire. Pascal Fierling a satisfait aux quatre premières unités de valeur. 

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Ju-Jitsu en compétition, c’est encore…

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Me concernant, la compétition par affrontement direct dans notre discipline, décidément c’est non ! Et les dernières vidéos visionnées sur le Net ne modifieront pas mon point de vue. Elles vont contre la nature même de la discipline et affichent une certaine violence : c’est exactement ce qu’il ne faudrait pas montrer et développer.

Bien évidemment, je ne suis pas un « anti-compétition » en général, mais je reste contre les compétitions quand il s’agit d’affrontements directs dans des disciplines qui ne les permettent pas, sauf à les tronquer et les dénaturer. Et c’est bien ce qui se produit dans les compétitions de Ju-Jitsu. Notre art martial possède deux particularités. La première : il est hérité directement d’un art guerrier, pratiqué notamment par les samouraïs, pour qui l’utilisation de ce Budo en combat se terminait bien souvent par la mort de l’un des deux guerriers. Toutes les armes naturelles du corps – et bien sûr les plus dangereuses, parce que les plus efficaces – sont utilisées. Si on peut se permettre un certain parallèle, cela reviendrait à combattre au pistolet à balles réelles ! L’enseignement et la pratique doivent donc être adaptés ! La deuxième particularité – issue de la première – réside dans le fait que l’efficacité de notre art se trouve dans sa pluralité technique mais surtout dans sa capacité à enchaîner aussi bien le travail à distance que le travail au contact ! Or, c’est précisément ce qui est interdit dans l’épreuve nommée « fighting-system ». Un exemple : quand les combattants entrent dans la phase « corps à corps », l’interdiction de porter des coups est formelle (et heureusement d’ailleurs). Mais il ne s’agit donc plus du Ju-Jitsu. D’ailleurs, le Japon – pays d’origine de notre discipline – ne pratique pas cette formule.

Que l’affrontement direct de deux combattants avec des règles bien précises pour leur sécurité existe, je ne suis pas contre, mais ne le nommons pas Ju-Jitsu. Appelons-le judo-boxe ou karaté-judo, par exemple.

D’autre part, à ceux qui nous opposent que dans la réalité – en cas d’agression – on utilise toutes ses armes et que, par conséquent, il devrait en être de même à l’entraînement, je répondrai simplement que la réalité, c’est la réalité et que bien souvent… cela finit mal !

Tout l’intérêt d’une pratique martiale moderne (oui, j’insiste), donc adaptée à son époque, réside dans sa capacité à proposer un travail qui va être efficace en cas d’agression, mais qui n’est pas trop dangereux lors des entraînements. L’objectif premier étant de « durer » en évitant de porter atteinte à son capital physique. L’efficacité se situe avant tout dans le fait d’être en pleine possession de tous ses moyens. Il s’agit donc de se placer dans une pratique éducative et non destructive. Je sais que nous ne pratiquons pas de l’art floral, mais ce n’est pas une raison valable pour ne pas contenir les risques de blessures graves. Or, une des particularités des affrontements que j’évoque est d’être « accidentogène » au niveau des entraînements et plus encore en compétition.

Quant à nos méthodes d’entraînement, basées sur une opposition par secteurs et qui évitent tout risque important, elles viennent en complément d’une étude technique rigoureuse. De plus, pour ceux qui le désirent, les coupes techniques sont là pour permettre un affrontement dans l’esprit du Ju-Jitsu.

Coupe des 16 Techniques

Programmée tardivement pour cause de calendrier difficile à établir, la  coupe des « 16 techniques » organisée par notre club le samedi 14 juin, devrait réunir des concurrents dans chaque catégorie. Une invitation a été lancée aux clubs EAJJ, mais plus largement, tous les participants sont les bienvenus. Cela dans la mesure où ils sont en possession d’une licence fédérale.
Cette manifestation organisée de façon on ne peut plus simple permettra de se retrouver en toute amitié entre passionnés de notre discipline.
Le programme consiste à démontrer les 10 premières techniques pour la catégorie ceintures jaunes-orange, les 12 premières pour la catégorie vertes-bleues et les 16 en entier pour les marron-noires.
L’enchainement des 16 Techniques est un des « fondamentaux » de notre style de ju jitsu. Sa pratique permet d’acquérir techniques, automatismes et condition physique.
La participation à une telle manifestation permet de se faire plaisir en pratiquant intensément le ju jitsu. C’est aussi le moment de se mettre un peu de pression. Mais, l’intérêt majeur réside dans les progrès considérables qui sont réalisés à l’occasion des répétitions. N’oublions pas que cet enchainement est intégré dans nos programmes de grades!
Donc rendez-vous le 14 juin au dojo de la Bastille, mais avant – pour les participants – rendez-vous sur les Tatamis pour les répétitions.

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Les 24 techniques

Avec les « 16 Contrôles », l’exercice imposé appelé les « 24 Techniques » est l’un de nos enchaînements les plus récents. J’ai eu le plaisir et l’honneur de le créer en 1992 pour les besoins d’un professeur de judo – en mal de ju-jitsu – qui préparait son 4e dan de judo, pour lequel une unité de valeur « ju-jitsu » est requise. C’était à une époque où la FFJDA proposait un ju-jitsu « normal » et où j’appartenais à la commission technique nationale. Un jour donc, ce pratiquant me demanda de lui dispenser des séances en particulier et de lui concocter un enchaînement qui lui permettrait de faire preuve d’une bonne connaissance et d’une certaine maîtrise de notre art.
Comme il avait peu de temps, il fallait aller à l’essentiel et procéder avec organisation.
Tout d’abord classer les attaques par série – afin de ne pas en oublier d’une part et de faciliter la mémorisation de l’enchaînement d’autre part -. Ensuite nous devions démontrer le plus possible de techniques appartenant aux trois composantes du ju-jitsu, et au sein de chacune d’entre elles, présenter les plus emblématiques. Enfin, le souci était de mettre en avant plusieurs schémas de ripostes. Exemple, lors des trois premières techniques, les trois composantes de notre discipline (coups, projections et contrôles) sont démontrées et enchaînées dans l’ordre le plus naturel. Mais la nécessité d’utiliser systématiquement tous les aspects de notre discipline n’est pas absolue, comme il n’est pas non plus systématique de respecter un ordre précis pour l’utilisation des composantes. Par exemple, il peut y avoir tout d’abord une projection suivie d’un coup et enfin une finalité en contrôle. Tout étant une affaire de circonstance.
C’est de cette façon que l’exercice des « 24 techniques » a vu le jour. Il a été ensuite décidé de le conserver et de l’inclure dans nos programmes d’étude et d’évaluation.
En 24 techniques, tout le ju-jitsu n’est pas présenté. Mais au travers de ce que l’on pourrait appeler un « kata moderne », nous possédons un exercice qui permet de répéter et donc de se perfectionner dans différentes techniques et différents enchaînements tout en faisant face à une grande variété d’attaques à mains nues (tentatives de saisies, coups de poing et coups de pied, saisies) ou bien armées (couteau, bâton et revolver).
Sur un plan purement pratique et comme dans tout kata, Tori et Uke se doivent de respecter les placements, l’ordre d’exécution et faire preuve d’une forte concentration tout au long de la démonstration. Les attaques de Uke, tout comme les ripostes de Tori doivent être présentées sans précipitation mais avec détermination.
Cet enchaînement exprime un ju-jitsu dynamique et efficace, mais également porteur de l’héritage d’une discipline aux racines profondes, et cela sans jamais trahir ni son histoire, ni ses principes.

 

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Ju-Jitsu sur TF1

Enfin, un sujet sur notre discipline à une heure de grande écoute dans une grande émission. En effet, TF1 vient de diffuser environ 10 minutes de ju jitsu dans « sept à huit ».

Le portrait d’une « mamie » de 71 ans qui vient de réussir se ceinture noire et qui s’exprime et s’éclate sur les tatami malgré son arthrose était – de mon point de vue – assez réussit.

Cela avait le mérite de mettre – enfin – notre discipline sous les projecteurs et montrer qu’elle était praticable par tous et toutes quelque soit l’age et la condition physique.

De plus, les propos de Madame était pleins de sagesse. Des propos de « ceinture noire ».

Que ceux qui ont pu voir ce sujet n’hésitent pas à laisser un CR.

On aimerait en voir et en avoir d’avantage – de ce genre de reportage – et pouvoir présenter ainsi toutes les tranches d’âges qui s’adonnent avec bonheur et plaisir à la pratique du ju-jitsu.

 

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Ju-Jitsu à Bercy

Je n’étais pas à Bercy le 29 mars dernier pour le festival annuel des arts martiaux, organisé comme chaque année par le magazine «Karaté-Bushido ». En effet, je me trouvais à Léognan pour un week-end Ju-Jitsu organisé par notre regroupement national l’EAJJ.
J’attends avec impatience l’occasion de pouvoir visionner la vidéo de la démonstration de Ju-Jitsu qui a été présentée ce soir là, et c’est avec la plus grande objectivité que je donnerai mon sentiment !
Mais, si je me fie aux premières réactions qui me sont parvenues, malheureusement, ce n’est pas vraiment avec ce type de prestation que notre art martial retiendra l’attention du grand public et pourra s’assurer un bon développement.